PULP FICTION
BANG !
En 1994, le festival de Cannes découvre Pulp Fiction, le second film de Quentin Tarantino, et décerne au jeune réalisateur la palme d'or. Où comment le "cinéma d'auteur" peut tout autant être un "cinéma populaire" pour ceux qui n'en serait pas encore persuadé!
Tarantino a confié à la presse que pour avoir une nouvelle idée de film il devait surtout trouver une musique d'intro, cette bande son qui sera la ligne directrice de l'ensemble du film. On peut dire que pour Pulp Fiction il ne s'est pas planté !
OK, c'est bon vous avez la chanson "Miserlou" de Dick Dale en tête? C'est parti !
Le pitch
Pulp Fiction nous propulse dans des tranches de vie de personnages charismatiques. Butch, Vincent, Jules, Mia et d'autres... vont croiser leurs destins autour de celui de Marcellus Wallace, maitre de la pègre de Los Angeles.
A partir de là on assiste à une cascade de séquences cultes regroupées par chapitres. D'ailleurs, la plus part des films du réalisateur sont chapitrés!
Bourré de références à la culture pop, le film plante les personnages dans un décor extrêmement famillié. A ce sujet, le titre du film en est la première victime car il fait références aux publications appelées les Pulp Magazines, très populaires aux U.S.A, où se croisent de multiples style : SF; polar; romance...
Ça doit être à cause du système métrique ...
Allez cadeau de la maison! Un petit best-of des répliques bien senties qu'on peut retrouver !
- "Si Butch se réfugie en Indochine, je veux un gonze dans chaque bol de riz prêt à lui plomber les molaires." Merci Marcellus!
- "Sors la crampe. Elle pionce la crampe ! Alors qu'est ce que tu attends pour la réveiller ?" Merci Zed !
- "Fabienne, cette montre c’était celle de mon père. T'as une idée de
ce qu'il lui en a couté pour me donner cette montre ? Je te raconterai
plus tard mais il en a chié !" Merci Butch !
- "Mouais, les rats ont p'tet le goût de crème caramel mais comme
j'ai pas l'intention d'en manger j'pourrais jamais le savoir. Et puis
les cochons il se roulent sans arrêt dans leur merde, même qu'ils la
bouffent. C'est dégueulasse. Faut être con pour manger ses excréments." Merci Jules !
Ce qu'on en pense
Faites le constat par vous même, le fait d'évoquer Pulp Fiction fait forcement écho à tout le monde que ce soit par la musique, les dialogues, ou les séquences du film.
Casting de feu; Bande son de feu; Dialogues de feu; Réalisation de feu... En soit un film obligatoire (Ah! Je sens que vous vous attendiez à ce que je dise "feu"!)
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