SHINING
ALL WORK AND NO PLAY MAKES JACK A DULL BOY
Vous en avez plus que marre des adaptations bancales qu'on nous sert ? Vous pensez même qu'une ligue de réalisateurs-adaptateurs-bacleurs s'est montée???
En voici un contre-exemple de choc ! Ne désespérez plus ! Dans les classiques du cinéma d'horreur on trouve LA référence parmi les références. En un nom : Shining réalisé par Captain' Kubrick.
En voilà un réalisateur qui sait ce qu'il fait quand on parle d'adaptation !
Petite autopsie d'un film qui fout les chocottes :
- Titre : Shining
- Réalisateur : Stanley "ZE réalisateur" Kubrick
- Année : 1980
- Genre : Film d'horreur terrifiant qui fait VRAIMENT peur
- Adaptation de : The Shining - Stephen King - 1977
- Acteurs : Jack "Sourcils en triangle" Nicholson - Shelley "Dents de Poney" Duvall - Danny "Phalanges Magiques" Lloyd
- Durée : 146 minutes où pendant à peu près 100 minutes on aimerait être sponsorisé par les plus grandes marques de couche-culottes !
HONEY ! I'M HOME !
Jack Torrance trouve un emploi pour devenir gardien du grand Hotel Overlook
pour la saison hivernale. Un job parfait pour se reconstruire,
recommencer sa vie et écrire un nouveau bouquin en compagnie de sa
famille.
Il est vrai qu'à cette période de l'année, calme, paix et surtout isolation, sont les maîtres mots... Danny, le fils de Jack à une faculté que peu d'autres personnes ont. Il est médium, tout comme le maitre d'hôtel de l'Overlook.
Ce pouvoir lui fera voir des choses bien glauques tandis que son père sombrera peu à peu dans un état de nervous breakdown des plus colérique...
Pour la suite soit vous la connaissez, soit vous vous devez de la
connaître ! Bien sur cela implique d'oser entrer dans l'hôtel
Overlook...
REDRUM
L'une des grandes qualités du film est qu'il nous aspire dans un décor immaculé et lumineux où règne dans l'atmosphère quelque chose de franchement malsain.
Pour faire simple : C'est le premier film d'horreur en plein jour.
Comment ne pas être bluffé par la technique de Kubrick quand on
peut admirer le plan-séquence où Danny fait un tour de tricycle dans les
couloirs de l'hotêl... Rien de spécial vous nous direz ?
Et bien si ! Encore une fois Kubrick innove et utilise le steadycam adapté à une sorte de fauteuil roulant qui lui permet de faire un plan souple, sans interuption et extrement fluide.
Ce film est une fois de plus la preuve que Stanley Kubrick utilise et gère sa technique dans le souci de servir au film.
Conclusion :
Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum.
Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum. Redrum.
Redrum. Redrum. Redrum. Redrum ! Redrum ! Redrum ! Redrum ! Redrum !
Redrum ! Redrum ! Redrum ! Redrum ! REDRUM ! REDRUM ! REDRUM !!!!
Ca fait peur hein ? On vous aura prévenu !
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